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L'infirmerie était vide . Si on ne comptait pas le cadavre évident d'une demoiselle dont la robe noir foncé était tout aussi tachée de sang que cette fille au rez-de-chaussée... À croire que l'école est remplie de visions morbides comme celle-ci . C'est dire, les survivants ne se rendent compte que maintenant des nombreux cadavres qui obstruaient leur avancée dans les sombres corridors d'Heavenly Host . Cette ambiance terrifiante est soulignée par uk rire sarcastique et enfantin, signe des prémices du premier tour de ce jeu sans queue ni tête auxquels s'adonnent mes maîtres des lieux .

[LE GROUPE PREND 15 POINTS DE DARKENING]

Pourtant, la zone semble en rien montrer un quelconque signe de piège ou de danger apparent...

Sonnay était bien déterminé à poursuivre cette enquête à l'infirmerie. Emiko était d'accord pour qu'ils aillent fouiller rapidement l'infirmerie, espérons juste que ce fameux monstre-fantôme n'y soit plus, par pitié qu'il n'y soit plus.. Sonnay décide, avec Emiko, de rentrer dans l'infirmerie, bien évidemment, sa mémoire ne marche plus que pour cette école en cet instant, il se souvient de pleins d'choses ici. Les toilettes, l'esprit, la clef -qui d'ailleurs ne lui servait à rien en ce moment- l'infirmerie, la planche, la fille, les lycéens. Absolument tout ! D'ailleurs, en marchant, il semblait très silencieux, il ne parlait pas et justement, réfléchissait. Il ouvre doucement l'infirmerie, la porte grince doucement en l'ouvrant et cela ne fait que donner un air dramatique.

Une fois dans l'infirmerie, il regarde rapidement Emiko et essaye de voir si la bête était là. Dans le peu qu'il pouvait voir dans cette salle, il ne la voyait pas. Sonnay décide alors de rapidement fouiller les casiers de l'infirmerie, histoire de trouver de quoi se soigner certains bleues et petites ouvertures.

D'ailleurs, Emiko ne semblait pas avoir remarqué le fait que Sonnay soit blessé. Vers son épaule droite, une tâche de sang couvrait le tissu de ses vêtements.

Il cherche donc, de quoi pouvoir faire coaguler, tout lui servirait !

Hm.. d'ailleurs, si le cadavre d'Honoka était bien là, il ne l'avait pas remarqué, le noir qui envahit la pièce est vraiment désagréable pour lui. Mais bon, on sait pas faire mieux qu'ça.

Le silence règne dans la salle, Sonnay ne se décide pas à le couper, il est bien trop occupé à réfléchir aux événements précédents. Il semblait même encore plus courageux, comme si cette situation était maintenant habituelle. Son caractère avait pris un choc, il s'était endurcie, c'est clair de ce côté là.

En ce qui concerne Emiko, il était content de la retrouver. Ils pourront maintenant se serrer les coudes et pouvoir s'entre-aider.
Sonnay semblait prêt à protéger Emiko.

Et aussi ! Les deux hommes de la toute à l'heure. Celui à l'écharpe semble bien décider à en finir avec Emiko et Sonnay si ils se croiseraient. Mais, Sonnay est bien décidé aussi à l'envoyer bouillir dans le néant des trous de l'école, il n'aurait pas le choix -bien qu'il le fasse à contre-coeur, c'est vrai-. Par contre, l'autre, semble déjà moins agressif. Espérons qu'il le reste...
Sonnay ne voulait pas tuer, il n'allait pas le faire ! Mais, il devait bien se défendre, le pauvre...
Il décide de ne plus penser à ça et d'essayer de penser au fait qu'ils ne s'affronteront pas avec les autres. Il faut rester positif dans de tels situation.

Je n'avais pas fait attention que le garçon et la fille sont partis. Enfin, jusqu'à ce que le plancher craque assez lourdement. Je me suis retourné et je pense avoir vu une silhouette monter..

Ils pensaient réellement être discret ..? Il suffit tout simplement de se demander où ils étaient passés pour remarquer qu'ils étaient partis vers l'escalier.. Ce serait bête de passer derrière ce mec, et drôlement stupide. Rester au Rez-de-Chaussez.. Ils sont obligatoirement montés, sinon, je les aurais vu.

Il me fallait choisir.. Et vite..

Les 3 ont l'air d'avoir vu énormément de choses.. Ce qui me manque ici, c'est l'expérience de l'endroit et du vécu.. Mais je vais vite passer cette écart.. Il me faut les suivre, hors de question de rester avec lui, il semble être bien plus dangereux..

Je reste un moment à regarder le cadavre.. L'homme semble être toujours sous le choque.. Je décide alors de m'écarter du mur et de me diriger vers l'escalier, sans faire spécialement de bruit, puis, je m'arrête devant l'énorme trou, le scrutant, restant tout de même sur mes gardes, pour éviter tout coup-bas venant de derrière moi.. Je regardais les 2 silhouette disparaître dans l'escalier..

-.. feras .. .. j'me.. d'avoir .. .. sorte .. mo..re-fantôme .. l'infirmerie, .. veux .. l'inspecter .. .. passe.. ?

Un Fantôme..? A l'Infirmerie ..?

-Passons .. l'infirmerie ... .. prudemment .... .

Rah.. Ils vont y aller ou vont la contourner ? Rah... Quoi faire ? Que faire ? Les suivre, pour sûr.. Mais comment pourrais-je savoir où ils sont si je ne sais pas où ils vont ..? Et l'Infirmerie ? C'est où ? Hm.. Tout ce que je sais, c'est que c'est soit au premier ou deuxième étage. Je dois les suivre de prêt..

Il me suffit d'attendre encore un peu, le temps qu'ils montent les escaliers complètement..

Hm.. Bien, il me semble que ce soit bon.. Je longe alors le mur pour passer le trou et me dirige directement dans les escaliers, une de mes mains se trouve dans ma poche droite, là où se trouve mon couteau déjà ouvert, on ne sait jamais..
Je marche aux extrémités des escaliers pour essayer de ne pas faire trop craquer le bois des marches.. Mon poids assez léger, et étant seul, le craquement est bien affaiblis, mais bon.. Le plancher craque deux ou trois fois, le temps de monter, je ne pense pas qu'ils m'ais entendu. Surtout qu'à ce moment là, ils devaient êtres loin.
Une fois les escaliers montés, je penche légèrement la tête pour voir deux silhouette s'avancer dans le noir.. Je décide alors de me mettre de la poussière sur le visage pour l'assombrir et passer du mieux que je peux inaperçus.. Je m'avance doucement pour éviter le moindre bruit. Puis, j'entend le grincement d'une porte.. Ils entrent.. Je m'avance peu, sans trop m'approcher, je peux légèrement entendre leur pas, je ne sais pas si ils parlent.. Attendons..

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L'infirmerie

Sachiko ayant des soucis IRL pouvant durer, je m'autorise à répondre pour lui le temps que les choses s'arrangent

L'infirmerie semble, bien heureusement, vide. Le corps sans vie de ce qu'a été Honoka Setenza, avant qu'elle ne se vide de son sang suite à une plaie béante, repose sur le lit de droite. Fort heureusement, le fantôme ne semble pas être en ces lieux... du moins, semble t-il : la porte n'était pas fermée, preuve de sa présence en ces lieux.

L'infirmerie et son ameublement peut être fouillé. Pour se faire, veuillez vous référer à ce CG. L'ATH y est, de toute évidence, à ignorer.

Infirmerie. Aucun risque:

Sonnay sourit, le corps de la fille était là, comme il pouvait en déduire. Ce qui lui avait tout d'même fait peur pendant un instant. Par malheur, il ne la connaissait que très peu, même pas du tout. Donc, il avait une légère peine, sans plus. Il fit quelques pas, aucun monstre dans les parages. Cependant, la porte était ouverte, ça veut peux-être dire qu'il rode en ces lieux. Il semblerait qu'il n'y ait aucun risque pour Sonnay et Emiko. L'homme lui fit signe d'attendre à l'entrée, et celui-ci fit quelques pas dans l'infirmerie. Tout d'abord, il décide d'inspecter l'armoire à sa gauche, une grande armoire comme celle-ci pourrait contenir des objets utiles.

L'armoire

L'armoire est en bois. Sa qualité décline très probablement. Tout comme le parquet, ce qui rend son bois lourd et fragile. Elle est vitrée, ce qui fait qu'il peut voir ce qu'elle contient sans avoir à l'ouvrir. Il n'y voit que des produits dignes de se trouver dans n'importe quelle infirmerie... plus d'une cinquantaine d'années plus tôt. Les dates de péremption de tous les produits ayant été atteintes, consommer ici ne servira qu'à vous rendre malade. Sans compter que certains produits, utilisés en trop gros nombre, ou de la mauvaise manière, comme l'alcool utilisé pour les plaies, pourrait éventuellement causer plus de dégâts qu'il n'en soignerait. Une personne assez maline pourrait en faire office de poison...

Dans l'armoire figure différents outils, qui ne sont probablement pas soumis à des dates de péremption, cette fois. Bandages, attelles...

Et une paire de ciseaux à bout pointu, tellement fatigué par le temps et rouillé qu'il ne couperait pas du beurre.

Sonnay prit les ciseaux, les frottants rapidement contre sa cuisse avant de le ranger dans la poche de sa veste. Il prit aussi quelques bandages et attelles. Ça pourrait lui servir, pour soigner qui que ce soit. Tout d'abord, il décide de rapidement essuyer son épaule couverte de sang sec et de pousser pour faire coaguler le peu de sang qui pouvait encore en sortir. Suite à ça, il enroula doucement un tout petit bandage autour de la plaie, pour garder la coagulation en marche.

Ça va, tu peux rentrer.

Il était, tout en parlant à la jeune fille, entrain de détacher un bout d'bandage du rouleau avec ses dents, et l'appliquant donc autour de son épaule blessée.
Suite à ça, il décide d'enchaîner ses recherches et de fouiller l'armoire juste au dessus de l'étagère à la droite du grand meuble. Ouvrant les tiroirs doucement, cherchant quelque chose d'utile.
Il allait continuer à inspecter toute l'infirmerie, pour en sortir avec plus d'efficacité sous les mains.

Acquisitions

Sonnay obtient une paire de ciseaux, des bandages, et une attelle.
Sonnay récupère 3 PVs. Ce bonus augmentera s'il prend du repos.

L'armoire ne semble rien avoir de plus à proposer, à part de la poussière en masse. De même pour les tiroirs, emplis de paperasse inutile et de poussière...

Sonnay ne trouvait rien de très intéressant dans cette armoire-ci. C'est bien pour cela qu'il allait fouiller l'infirmerie de fond en comble.

Il était sérieux, ses yeux habitués à l'obscurité des corridors, une lueur pâle sur sa peau froide. Un regard vide et la bouche souvent entre-ouverte sous la concentration. Il transpirait parfois, même beaucoup. Mais, ce dont on pouvait être sur, c'est qu'il ne perdait pas son temps. Il était fatigué, ses muscles affaiblis par le froid. Il ne sentait même plus le bout de ses doigts. Un tas de poussière, que de la poussière, partout ! Il ne pouvait même pas respirer correctement sans qu'il y ait de la poussière qui vienne s'incruster dans ses narines ! Il se frottait souvent les narines d'ailleurs, embêté par les déchets de cette école et son oxygène à peine respirable.

Sonnay décide de continuer à fouiller. Il recommence après longue hésitation à farfouiller l'armoire juste en dessous de la dernière. Une petite armoire en bois, sans vitrine. La poignée froide, tout comme les mains de Sonnay.

Il ouvre l'armoire, doucement, lentement...

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